Mimizan avenir

Enquête publique

Enquête publique

Cette enquête concerne une demande d’autorisation de défrichement  sur la parcelle AH 100 du Parc dHiver : 16ha 97a10ca.

Le dossier d’enquête comprend :

  • la demande de défrichement,
  • l’étude d’impact,
  • l’avis de l’autorité environnementale.

Dossier consultable en mairie, sur support papier ou ordinateur. Sur le site internet www.landes.gouv.fr rubrique Publications légales-Enquêtes publiques.

Vous avez jusqu’au jeudi 23 janvier 2020 / 17h30 pour apporter votre contribution, selon les modalités suivantes :

  • par écrit sur un registre d’enquête mis à votre disposition à la mairie,
  • par courrier à l’attention de Monsieur le commissaire enquêteur.Mairie de Mimizan 2 avenue de la Gare BP 4 40201 Mimizan Cedex,
  • par courriel devant porter la mention « à l’attention de Monsieur le commissaire enquêteur (EP de Mimizan Déf)» à pref-aménagement@landes.gouv.fr

 

AGISSONS CONTRE LA DEGRADATION

DE NOTRE ENVIRONNEMENT !

Derniers commentaires

  • Ducasse Michel
    7 janvier 2020 at 11 h 25 min Répondre

    Il faut préserver la qualité de vie et l’environnement de ce qui fait encore le charme d’une petite ville landaise avant que ça ne devienne une cité de résidences secondaires

  • Nicolas POMMIER
    19 janvier 2020 at 12 h 27 min Répondre

    Mimizan : Contre, et définitivement contre l’urbanisation outrancière de Mimizan

    N’oublions pas ce qu’écrivait Théophile Gautier au 19eme siècle :
    On ne voit en passant par les Landes désertes,
    Vrai Sahara français, poudré de sable blanc,
    Surgir de l’herbe sèche et des flaques d’eaux vertes
    D’autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc,

    Car, pour lui dérober ses larmes de résine,
    L’homme, avare bourreau de la création,
    Qui ne vit qu’aux dépens de ceux qu’il assassine,
    Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon !

    Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte,
    Le pin verse son baume et sa sève qui bout,
    Et se tient toujours droit sur le bord de la route,
    Comme un soldat blessé qui veut mourir debout.

    Le poète est ainsi dans les Landes du monde ;
    Lorsqu’il est sans blessure, il garde son trésor.
    Il faut qu’il ait au cœur une entaille profonde
    Pour épancher ses vers, divines larmes d’or !

    Que faut-il retenir de ces vers si ce n’est la beauté d’une écriture et d’une mise à nue du poète afin de pouvoir sortir ce qu’il y a de plus profond dans l’âme.
    Ici, nous n’écrirons pas de vers mais plutôt des plaintes à l’égard d’un geste humain non sans conséquence. Il faut donc retenir que l’homme n’aura cessé d’être « un avare bourreau de la création » pour ces propres profits ou sous le couvert de politiques diverses ne voyant que l’avenir de sa propre existence sans se soucier des générations à venir.

    N’oublions pas que l’Homme, n’a eu de cesse que de détruire ces terres dans le seul but d’obtenir d’elles, les besoins d’un quotidien sans même prendre soin en retour du repos de celle qui les nourrissait et les protégeait.
    Telle une esclave vous soumettez notre terre à vos exigences non calculées, à vos profits sans fin alors qu’elle a était notre berceau et ceux des autres, notre mère protectrice à tous et surtout le seul lieu à la ronde qui nous a permis la vie et donc, de vivre.
    Plus que du respect, c’est surtout une prise de conscience dont vous devez faire preuve car n’oublions pas toutes ces espèces que l’homme a exterminé lors de ses colonisations et rappelez-vous en, car , NOUS, nous n’oublierons jamais combien l’homme, sans compter, a pu mettre un terme a des vies, des organismes, des animaux sans se soucier de la chaîne écologique et de l’effet « boule de neige » que cela engendrera.
    Votre véritable réponse est de vouloir assouvir cette soif exagérée de reconnaissance ? De pouvoir ?quand aujourd’hui nous ne demandons que de laisser tranquille ce qu’il reste de vie dans un espace, certes, bien petit mais si nous commençons par-là, les espaces plus grands seront préservés.
    Oui, votre véritable réponse, indéniable indifférence envers nos demandes et ce qui en découlera est:
    « Nous ne serons pas là pour voir! »
    Nous n’oublierons pas et votre négligence aura un prix dans l’avenir…
    Non ! NOUS n’oublierons jamais et nous serons là pour juger toutes celles et ceux qui aurons pris part à ces votes et ces décisions qui mettent et mettrons en péril la faune et la flore pour une urbanisation encore et toujours plus intense, plus violente et surtout au préjudice dont vous ne serez peut-être plus témoins. Oui vous serez jugé mais le pire c’est que ceux qui n’auront pas demandé tout cela en seront également les victimes quand la nature reprendra ses droits ou que la première extinction Humaine commencera.
    Mimizan a assez de constructions pour accueillir les habitants, les touristes mais il faut cesser de donner des possibilités aux personnes qui ont déjà assez investit sur le dos de la nature.
    D’un point de vue Urbanisme, l’entrée de ville est assez marquée par l’arrivée sur le rond-point du casino et l’espace entre le pont des Trounques et le rond point cité n’a pas a subir une modification qui donnait à Mimizan encore un aspect de ville dans la nature.
    Vous aurez à régler des comptes sur les aléas et la mise en périls de ces lieux que vous aurez déclarés constructibles, que vous aurez aménagés. ET VOUS serez responsables !
    L’urbanisation à outrance et ses conséquences est déjà pointé du doigt sur de nombreux territoires de France alors prenez enfin conscience des véritables enjeux et ainsi vos responsabilités pour faire de Mimizan, de la communauté de commune et je l’espère, des Landes, un exemple de village verts en commençant par retourner vos pensées vers des projets d’amélioration de l’existent, de ses consommations d’énergie, de la circulation des fluides, afin de devenir un exemple pour tous au lieu d’être montré du doigt et de s’ajouter à la liste de ceux qui participent à l’extermination massive de la nature, de notre environnement et donc de notre vie.

    • Mimizan Avenir
      19 janvier 2020 at 19 h 21 min Répondre

      Le défrichement des 17 ha du Parc d’Hiver (et son aménagement futur) est un projet uniquement porté par l’équipe majoritaire en place.

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