Je vous préférais quand vous étiez dans la majorité. Vous étiez triomphants, menteurs, arrogants, suffisants, dans le déni souvent. Sous-traités – pas maltraités – par le Directeur général des services : M. Bironien. Forts de vos projets, de vos budgets, de vos investissements, de vos recettes et de vos dépenses. Je n’oserai m’aventurer sur les RAR… les fameux « Restes à réaliser » qui ont été l’objet d’un ping-pong que les Mimizannaises et Mimizannais iront lire prochainement sur le site de la mairie. Ou écouter et regarder sur le site Facebook de Mimizan ma ville. (Publicité gratuite)
Vous m’amusiez et je m’en suis donné à cœur joie pendant 6 ans. Je n’avais pas besoin de vous caricaturer : vous vous en chargiez vous-mêmes.
Vous n’étiez pas, cependant, insultants, aussi agressifs qu’en ce conseil municipal du 21/03/2023. On se serait cru à l’Assemblée nationale… toute proportion gardée.
Mme Périer a fort intelligemment demandé que cessent les noms d’oiseaux et les attaques ad hominem. Car… les attaques ont fusé, peut-être symptomatiques d’un agacement de votre minorité ?
M. Bourdenx ? Vous vous attaquâtes à David Persillon. Le nommant « adjoint au temps libre ». Devant mon écran, j’ai sursauté: « Tiens ! Voilà Arnaud nostalgique des années Mitterrand. Ce garçon a des références vachement de gauche. Aurait-il retourné sa veste ? ».
Bien sûr que non. Vous cherchiez, Arnaud Bourdenx, à disqualifier, humilier l’adjoint aux travaux qui n’en ficherait pas une rame. Sous entendu : ainsi que le personnel… Il vous a répondu, poliment et fermement, que vous devriez arpenter les rues de la ville ; serpenter autour du Parnasse pour voir tout simplement ce qui est réalisé.
Vous avez aussi attaqué « la presse » mensongère, sans jamais nommer le correspondant de Sud-Ouest, pourtant présent. Et là, je me suis dit : « Je la connais cette antienne nauséabonde qui veut que les media mentent quand ils ne régurgitent pas notre opinion. »
Mme Bourrel ? Bonjour ou bonsoir.
Je peux entendre – comme disent les politiques – votre intervention sur le personnel. Vos questions. Je peux me poser les mêmes. Était-il utile d’indiquer que Mme Weber ne vous saluait pas ?
Les incivilités ? Les ressentiments ? Réglez-les entre vous. Face à face, comme l’a proposé David Persillon.
Pas devant les administrés qui attendent des élus du peuple – non des règlements de compte personnels – mais un travail commun pour leur ville.
Arlette Bouigue
Giancarli Lydie
25 mars 2023 at 13 h 50 minBonjour merci pour ce résumé fort intéressant. Très surprise, également de ce ping pong verbal. Dommage d’en arriver là