Des aménagements urbains appréciés de tous
Le bilan de la saison 2018* montre que l’aménagement des berges du courant, la rénovation complète de la corniche et de l’esplanade de la Garluche ont séduit les touristes et la population locale.
Un point noir : la décision de faire du poste de secours de la Garluche le poste principal. Cela complique la tâche des secours et n’offre pas toutes les garanties indispensables à la sécurité de la population estivale.
Des décisions lourdes de sens dénoncées par des professionnels du tourisme
La privatisation des campings et leur montée en gamme sont moins consensuelles.
Des voix s’élèvent pour dire que les tarifs pratiqués sont trop onéreux ; ils peuvent aussi expliquer une baisse de la fréquentation et du pouvoir d’achat constatés par les professionnels du tourisme.
Le camping du Lac est lui, le grand oublié.
L’éviction des groupes de jeunes Hollandais décidée par la nouvelle direction du camping se fait cruellement sentir avec une baisse de fréquentation et des recettes de certains établissements (bars, restaurants et restauration rapide).
Comment peut-on à la fois financer un skate-park de 350 000 € tout en chassant une grande partie des jeunes surfeurs étrangers de la station ?
La disparition annoncée de la colonie du Tarn-et-Garonne inquiète les prestataires et fragilise encore plus les ailes de saison (classes vertes notamment).
Dans les Landes, le surf est un des moteurs de l’économie touristique : il est indispensable pour le dynamisme de notre station d’attirer une population jeune.
La décision de fermer la moitié des baignades dès le 24 août par souci d’économie est une aberration sur tous les plans.
Nous sommes prêts à travailler avec la majorité pour améliorer la situation. L’économie touristique est capitale pour notre territoire.
*Source : Office intercommunal du tourisme
Marie-France DELEST
Arlette Bouigue
14 novembre 2018 at 20 h 12 minLes jeunes, étrangers de surcroît dérangent donc la quiétude du nouveau directeur du camping. Mimizan n’est pas une succursale des maisons de retraite, et des vieux, ma foi, il y en a beaucoup. J’en fais partie. J’ai fréquenté la jeunesse du temps où j’étais » active » et je compte bien la fréquenter encore.D’où qu’elle vienne.Elle me fait espérer, respirer.Elle m’inspire. Mimizan ne doit pas devenir un tombeau…avant l’heure!